Plus de transparence pour les conseillers, finances communales dans le vert et bonne nouvelle pour l’extension de l’école de Natoye et la liaison Hamois-Achet
Un petit goût de vacances dans le dernier conseil communal de Hamois avant les vacances !

Plus de transparence pour les conseillers, finances communales dans le vert et bonne nouvelle pour l’extension de l’école de Natoye et la liaison Hamois-Achet
Voici le dernier communiqué du TEC, reçu ce matin, bonne lecture !
Ce lundi 29 juin, le TEC lance son nouveau site officiel letec.be, développé dans le cadre du programme GO DIGITAL visant à proposer des solutions digitales et innovantes aux clients et au personnel du TEC.
En plus de son nouveau design, le site du TEC présente de nouvelles fonctionnalités :
"Le TEC prend le train de la digitalisation et avance maintenant à grands pas vers toujours plus de services de qualité aux voyageurs", se réjouit le Ministre wallon de la Mobilité, Philippe Henry.
Depuis la fusion des 6 entités le 1er janvier 2019, il n’est plus question de "Groupe TEC", "des TEC" ni même de "la TEC", mais bien d’une seule et même entreprise : le TEC.
Le lancement du nouveau site letec.be est l’occasion de repositionner et de moderniser la marque TEC tout en matérialisant cette fusion auprès des usagers.
Le TEC a fait appel à des artistes wallons pour assurer le lancement de son nouveau site et porter ainsi ce message de simplification et de modernisation.
Le rappeur liégeois Venlo a composé la bande son du clip vidéo. Les artistes liégeois Doud et Noir Artist et l’artiste namuroise Salomé Gauthier ont quant à eux habillé entièrement 9 bus qui sillonnent à partir d’aujourd’hui les routes wallonnes.
Diffusée à la télévision, à la radio, sur les réseaux sociaux, sur les véhicules et autres canaux digitaux du TEC, cette campagne de communication inédite a un message clair : c’est plus simple, c’est letec.be.
Après la pose récente de 6 banderoles, placées sur les panneaux d’affichage le long des routes aux entrées de la ville de Ciney, une opération 300 autocollants pour voiture « Soutenons le commerce cinacien » s’est déroulée en ce dernier vendredi de juin à partir de 15h (elle dure jusqu’à 20h) sur le parking Roi Baudoin du Centre Culturel de Ciney.
Tout était bien indiqué pour le mouvement des véhicules afin de ne pas se croiser. Dès 15h, le bourgmestre Frédéric Deville et la première échevine Anne Pirson était au fur et au moulin pour apposer les autocollants au dos des vitres des véhicules, aidés par quelques bénévoles. Si les premiers sont bien arrivés à 15h, ce n’était pas la foule ensuite, à l’heure de sortie des écoles, les citoyens étaient plus nombreux à ce que des autocollants soient apposés sur les véhicules. Seule crainte des autorités communales, la venue d’un orage qui risque de faire fuir les gens !
Pour découvrir 17 photos que j’ai prises cet après-midi, il suffit de cliquer sur https://ciney.blogs.sudinfo.be/album/sicker-buy-in-ciney/
C’est en présence de la ministre wallonne en charge du tourisme, Valérie de Bue, du député-président de la province de Namur, Jean-Marc Van Espen, de son collègue Amaury Gérard, de Bruno Belvaux, directeur du domaine et de son équipe, de la cellule des cours d’eau du Service Technique Provincial et des représentants des entreprises namuroises Stabilame, Colleau, Halloy, Eecocur et Gibbidy que s’est déroulée, en ce dernier vendredi de juin, l’inauguration du nouveau Palladien et de ses abords paysagers.
Jean-Marc Van Espen a rappelé l’histoire de ce projet : « l’idée de remplacer l’ancienne passerelle devenue obsolète à la sortie du 2e plan d’eau s’est imposée en mai 2018 lorsque l’équipe préparait le programme des 50 ans du domaine provincial. Héritage d’aménagements peu enclins à la diversité, la passerelle était constituée d’un déversoir, d’une digue de terre et d’un chenal en béton qui ne privilégiaient pas l’aspect paysager !
Désormais, c’est maintenant un pont de style palladien qui trône fièrement entre les 2 bassins. Fait de bois, de tronçons et d’un toit végétal, il fait écho à André Palladio, un architecte de la Renaissance. Des panneaux didactiques et un Centre d’interprétation de la pluie (qui s’est invitée en fin d’inauguration, un signe du destin !) seront également prévus sous cet abri permettant aux visiteurs de contempler et de mesurer toute l’importance du bouillonnement de l’eau.
L’ancien canal est remplacé par des cascatelles de pierres où s’écoule l’eau du bassin en amont. Une passe à poissons (ils étaient bien visibles du pont à voiture plus bas) a été installée permettant à la vie rivulaire de reprendre ses droits et aux poissons de remonter le passage. D’ici novembre, des arbres vont également être plantés tout au long de la cascade (comme l’a déclaré Laurent Crépin à la ministre, on pourra y pratiquer l’inter saisonnalité avec un grand nombre d’arbustes à feuilles automnales de toutes les couleurs).
N’oublions pas que ce pont permet un accès aux PMR et de réaliser une boucle en toute sécurité de 4 km. Le montant total du projet s’élèves à 300.000 euros subsidiés à 80 % du CGT. »
Quelques chiffres sur le domaine et sa philosophie
La stratégie du Domaine repose, depuis quelques années, sur un tourisme nature, en témoigne, la nouvelle zone humide en cours de réalisation. Pendant le confinement, les jardiniers du Domaine ont continué à entretenir le par cet les travaux d’aménagement des travaux de la zone humide ont pu être accélérés. Depuis le 8 juin, le Domaine a été rouvert au public et de plus en plus d’activités seront à nouveau accessibles. Malheureusement, pour l’ouverture de la piscine, il faudra un peu attendre !
69 communes ont une convention avec le Domaine provincial pour la vente des vignettes. 80.000 nuitées sont enregistrées annuellement pour les 376 lits à l’intérieur du par cet 200.00 pour le caravaning.
Pour Valérie de Bue, « vous êtes les précurseurs du tourisme de demain ! C’est une belle réalisation ! J’ignorais que le Domaine était une entreprise de plus de 70 personnes et suis très heureuse de l’évolution positive du parc. Comme nous le souhaitons à la Région wallonne, nous devons préparer le tourisme de demain, un tourisme durable. Notre campagne de promotion « changez d’air » nous a démontré que cette crise soit une opportunité pour le tourisme wallon ! Notre campagne « visite Wallonia » que l’on peut retrouver sur wallonia.be qui évoluera en fonction de tous les acteurs de tourisme devrait booster le tourisme wallon ! »
Pour voir les 30 photos que j’ai prises (dont 3 de Laurent Crépin, merci) ce vendredi 26 juin au domaine provincial de Chevetogne, il suffit de cliquer sur https://ciney.blogs.sudinfo.be/album/inauguration-pont-palladien/
Le Centre des Métiers d’Art « La Spirale » présente, de manière permanente, les créations de 57 artistes et artisans issus de toute la Wallonie.
Tous les deuxièmes et quatrièmes dimanches du mois de 10h à 18h (d’avril à novembre), plusieurs d’entre eux sont en démonstration devant le public afin de pouvoir partager leur passion.
Ce dimanche 28 juin, Patricia Biot (travail du verre filé), Claudine Frisque (métier à tisser), Jean-Pierre Hallet (céramiste), Claude Laroche (bois tourné), Marie-Laure Leguet (vitrail et fusing), Sabine Pleers (artisan du papier) seront présents sur le site de la Spirale. Une occasion unique de découvrir des artisans professionnels au travail.
Pour ceux qui ne connaissent pas la Spirale !
Situé dans un ancien bâtiment ferme entièrement rénové à Natoye, le Centre des Métiers d’Art La Spirale est le seul endroit en Wallonie qui rassemble un tel savoir-faire tout au long de l'année.
Céramistes, maîtres verriers, sculpteurs, dinandiers, bijoutiers, tourneurs sur bois, ébénistes, facteur de piano, forgerons, vannier, tisserandes, maroquiniers … y proposent un véritable savoir-faire qui mérite le détour.
Ce ne sont pas moins de 7 salles d'exposition qui sont ouvertes aux regards du public.
La Spirale et ses membres souhaitent, au travers de l’art, interpeller le visiteur sur son quotidien, ouvrir ses yeux sur la richesse de la découverte de l’autre, de ses passions, de ses rêves, de son Art.
Pour la saison 2020, le nouvel espace didactique a encore été étoffé.
Celui-ci explique de manière ludique et interactive les différents métiers d'artisans.
Le touriste pourra également vagabonder dans le superbe jardin et y découvrir diverses sculptures monumentales, ainsi que le potager didactique, la mare, la rivière, le petit bois, les superbes espaces fleuris… il est aussi le départ de jolies promenades à la découverte de la région du Condroz.
En pratique :
Ouverture :
Jusqu'au 22 novembre du mercredi au vendredi de 13h à 17h, le samedi de 13h à 18h et le dimanche et jour férié de 10h à 12h et de 13h à 18h.
En juillet et août du lundi au samedi de 13h à 18h et le dimanche et jour férié de 10h à 12h et de 13h à 18h.
Prix :
3 euros > 18 ans
Accessible aux personnes à mobilité réduite.
A une période normale, c’est-à-dire, pas comme celle que nous vivons depuis des mois avec le Covid-20, le Collège communal de Ciney au grand complet, entouré de toute la famille de la centenaire, se serait déplacé à la Séniorie d’Omalius pour y fêter une nouvelle centenaire, cinacienne de plus ! Hélas, c’est en présence de quelques membres de sa famille qu’Elvire Burlet a été fêtée ce mardi 16 juin. Elle a, néanmoins, tenu à écrire les grands moments de sa vie, sur une page A4, comme si elle avait été interviewée. Merci à son petit-fils Manu, qui a quelque peu corrigé ses propos, surtout au nouveau des dates. Et, lorsque l’on lit sa lettre, un élément saute aux yeux : son écriture parfaite et sans fautes, sauf à un nom propre !!! Elle n’y a pas oublié de remercier Madame Denée de la Séniorie et toute sa famille présente lors de la fête de son centenaire.
Le grand père d’Elvire, Nicolas Wien, est né à Pessoux en 1836. Il suivit des études d’instituteur à Carlsbourg et enseigna à Mohiville, village actuellement de l’entité de Hamois. C’est chez son grand-père qu’Elvire est née le 16 juin 1920. Comme on peut s’en douter, sa maman fut institutrice et retour à Ciney, enseigna à Conjoux. Malheureusement, son papa est décédé à Celles alors qu’il était encore très jeune ! Tout naturellement, pour suivre les traces de sa maman et de son grand-père, elle obtint son diplôme d’institutrice à l’école libre de Pesche (Couvin) le 30 juin 1939. Elle enseigna d’abord dans l’enseignement communal et eu la chance d’entrer en 1945 à l’Athénée Royal de Rochefort. A l’époque, l’enseignement officiel manquait d’effectifs à la sortie de la guerre ! Elle fut ensuite mutée à l’Athénée Royal Jules Delot à Ciney, alors en plein essor ! Elle fut pensionnée en 1980, à l’âge de 60 ans, année où Jules Delot devenait secrétaire général de l’Enseignement à Bruxelles. Elle a toujours vécu à Ciney jusqu’à un malheureux accident en 2005 où elle fut renversée par une voiture.
Sur le plan familial, elle épousa Eugène Mignon, ingénieur agronome (il fit ses études à Gembloux). De leur union, est né un fils, Philippe, médecin, trois petits-enfants, Jean-François, 47 ans, qui a suivi l’école de l’Horeca de Lausanne, Isabel, 46 ans, chimiste (université de Namur) et Emmanuel, 42 ans, électricien. Cinq arrières petits-enfants complètent le tableau : Nicolas et Hugo, 16 ans, Salomé, 13 ans, Thomas, 12 ans et Romane, 11 ans.